Les Caraïbons font des crans, ils sont loin les châteaux de sable
La symphonie des cerfs volants, la famille autour de la table
Tu rames sans courant et sans air Comment tu vas payer la bouffe entre la peur
et la colère Faudrait que t’exploses pour pas que t’étouffes
Pendant que tu retiens leurs notes
C’est on a dit, de que potes
D’aller et en silence, de fulgurances
sourires, et de pire
et c’est d’amour
d’amour
et c’est d’amour
d’amour
Ton fils humilier les vestiaires chaque semaine
esquive les le la ramène
Tu cherches les gestes consolent et les rassurent
que les morceaux recollent, fond de t’es pas sûr
Tu te rappelles le des fleurs, tu te racontes des histoires drôles
Tu slalomes entre les et entre les de flashball
La nuit tu des cartes rostales que tu déjà par cœur
calmer ces déchaînent l’intérieur
et c’est d’amour
d’amour
et c’est d’amour
d’amour
d’amour
d’amour
y une plage, la mer t’emmenait si loin
y aurait peut-être des de vague en vague, la main
y l’horizon quelque une lumière
il y des chansons pour prières
Les cerfs volants de revoleront
Déchirés par l’arrogance de ceux foutent la pression
Tu feras tout que tu n’es pas devenu
Mais enfants ont les yeux l’éclat d’impossible absolu
et c’est d’amour
d’amour
et c’est d’amour
d’amour
d’amour
d’amour
d’amour
d’amour
d’amour
d’amour